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il y a 4 ans
Une rencontre ABDL a été organisée par des membres d’Abkingdom. Elle se déroulait au Parc Astérix situé à 35 kilomètres de Paris. Pour les DL, l’idée était, simplement de se rencontrer, boire des coups et discuter pour faire connaissance et se sentir moins seuls. Deux groupes se sont constitués, les AB et les Littles sont allés s’amuser avec les attractions dans le parc. Pour vous qui êtes DL, la proposition d’aller dans une brasserie isolée des attroupements bruyants vous a séduit.
C’est autour d’une grande table que vous avez fait connaissance de DLspace, un baratineur de première. Avec lui on ne s’ennuie pas, il est joyeux, plein d’humour, bien que quelque chose vous titille sur sa personnalité. Le temps passe à la vitesse grand V et, pris dans un concours de baby foot vous n’avez pas fait attention à l’heure. Le covoiturage ne vous a pas attendu, logique, vous n’avez même pas entendu et donc répondu à ses textos quand vous déliriez au baby foot.
Hélas pour vous et trois autres DL, la SNCF est en grève. Lorsque DLspace propose de vous ramener jusqu’à Paris, où vous espérez trouver un train, vous sautez sur l’occasion. Ce n’est qu’arrivé au parking que vous tiquez. Son véhicule est un van noir, en réalité une camionnette réaménagée. La cabine est isolée de l’arrière du véhicule où vous prenez place en priant le seigneur et d’autres dieux, pour qu’il n’y ait pas un accident de la route.
Assis sur des caisses en bois avec vos trois compagnons d’infortune, vous prenez conscience que vos couches sont à saturation et menacent de fuir. Il est vrai qu’assis sur des caisses, cela n’aide pas. Soudain, le sommeil vous gagne, appuyé contre la carrosserie vous vous laissez aller à une douce somnolence pour tuer le temps sans prendre conscience que vous êtes gazés.
Lorsque vous vous réveillez, vous n’êtes plus dans le van, mais dans une cellule fermée par une porte faite avec des tubes en acier. Affolé vous criez, on vous répond. Hélas, ce sont vos compagnons d’infortune qui sont eux aussi dans des cellules. A travers les barreaux de la porte, vous pouvez constater, grâce à la lumière blafarde des couloirs, que vos cellules sont simplement équipées d’un lit rudimentaire, d’une table à langer et de gros anneaux ou chaînes.
Ce qui vous surprend tous, c’est que vous avez été changé et vêtu d’un body quand vous dormiez. Vous percevez malgré l’épaisseur des murs, que dehors l’orage gronde. La foudre fait clignoter la lumière à certains moments. Soudain, lors d’une de ces micros coupures, toutes les serrures électriques de vos portes s’ouvrent. Vous enfuir et quitter ce lieu maudit devient la priorité générale. A pas de velours, vous vous aventurez dans les couloirs et gravissez les escaliers. L’énorme porte de ce qui semble être un château est fermée à clé. Les fenêtres sont équipées de gros barreaux d’acier, trouver la clé est la seule solution pour vous enfuir.
ET LA, vous lancez le dé pour avancer du nombre de cases correspondantes sur le plateau de jeu. Lorsqu’un de vos compagnons s’aventure dans une des pièces de la maison, le sol se dérobe sous ses pieds. DLspace a installé des trappes pour piéger les voleurs. Avant qu’elle se referme, vous constatez par le trou dans le sol que votre compagnon est retombé dans une cellule. Pour vous en sortir, vous allez devoir jouer le jeu en espérant ne pas tomber sur les cartes gages.
Priez tant qu’il est temps que DLspace ne vous donne pas une carte gage.
Cette partie de l'histoire était la première partie du jeu de société que vous trouverez ici : https://abcplaisir.com/69-jeux-de-societe
Sur la fiche du produit, ils disaient que si vous aviez déjà un jeu d'ABCplaisir pour AB ou littles, vous pouvez utiliser leurs cartes ou mélanger avec celles d'autres jeux ABCplaisir. Les cartes sont toutes au même format dans ce but. Vous pouvez par exemple ajouter quelques cartes des jeux fessées et quelques cartes des jeux BDSM si cela vous séduit.
ET LA ma Maîtresse et nurse d’amour s’est engouffrée dans tous ces jeux. Il est vrai qu’à 1 euro pièce, elle a tapé dans toutes les autres rubriques. Dans un sens, j’étais content, dans l’autre je commençais à m’inquiéter, car, quand elle s’excite comme ça, après j’ai mal aux fesses ! ! !
Elle m’a fait mettre ma cage de chasteté pendant qu’elle téléchargeait, c’était un signe évident d’envie de me martyriser. Comme toujours, j’ai du me présenter nu devant elle avec ma cage posée pour qu’elle ait le plaisir d’entendre le « clic » du cadenas. Ses yeux brillaient du feu du désir, perso, j’aurai préféré la mettre après avoir assouvi ses envies, (et les miennes) mais bon !
Congédié à sa façon, je me suis retrouvé entravé au lit et en couche sans possibilité de deviner ses projets me concernant. Par la porte de la chambre laissée ouverte, j’ai pu voir Nanou se lancer dans du découpage puis des collages. Mon naturel provocateur n’a pas pu se contenir !
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Nanou, vous vous lancez dans les Arts plastiques ou vous aussi vous régressez ?
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Pardon ?
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Non rien, je plaisantais !
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Répète ce que tu viens de dire !
Lorsque Nanou me parle en élevant la voix, il y a péril en la demeure. Convaincu qu’elle avait bien entendu ma tirade provocatrice, je ne me suis pas aventuré à en changer le moindre mot. Si elle s’est levée de la table du salon, ce n’était pas parce qu’elle n’avait plus envie de faire du découpage ! NON ! C’était pour aller chercher du scotch d’emballage et ma tétine. Deux minutes plus tard, je tétais goulûment sans possibilité de recracher la « suçue » et pour cause, avec trois tours de rouleau de scotch autour de la tête, la rejeter était impossible.
Madame a donc repris dans le calme ses activités manuelles en me laissant planté avec mes interrogations. De temps en temps elle riait aux éclats, je sentais bien qu’au plus elle riait, au plus cela serait « difficile » pour moi. Elle n’est revenu me voir que pour mettre de la farine et des flocons de pomme de terre dans ma couche et des glaçons. BRRRR c’est froid ce truc ! C’est là, que j’ai commencé à détester TSM et ses idées à la noix. Ce n’était que le début d’une haine monumentale, envers ce malade mental diplômé de l’académie des sadiques.
Trois heures et quelques pipis plus tard, c’est important les pipis, Nanou est venue fermer la porte de la chambre. Dire que je me suis mis à angoisser serait exagéré, mais que je commençais à appréhender la suite, oui. En effet, la sonnette m’a fait bondir, les voix et rires que j’ai pu entendre ont commencés à générer un resserrement de mon estomac !
ET LA, la porte s’est ouverte, deux furies sont entrées dans la chambre pour venir me martyriser. Little Camille et Little Sam que nous avions rencontrées avec leur Daddy respectif se sont jetées sur moi pour me faire des chatouilles. Je passerai sur leurs commentaires élogieux sur l’état de ma couche et les palpations qu’elles lui ont faites sans ménagement, pour le service trois pièces encagé dessous. Mes cacahuètes bloquées contre le métal s’en sont remises, mais il leur a fallu un peu de temps.
Libéré pour bonne conduite par Nanou, j’ai pu, ou plutôt du, rejoindre la salon avec ma tétine toujours scotchée et ma couche pendante menaçant de faire grève. (C’est d’actualité, je sais)
Sur la table, Nanou avait installé deux jeux, le pensionnat des fessées et le château des ABDL. D’un commun accord avec les daddys, Nanou avait organisé une soirée pizza animée. Ce n’étaient pas les pizzas qui allaient être animées, lol, mais la soirée.
Dans sa grande mansuétude, Nanou m’a autorisé à aller prendre une douche sous la surveillance des Littles déchaînées. C’était la première fois qu’elle assistaient à la douche d’un homme sous cage de chasteté, c’est cette partie là de mon anatomie qui a retenue leur attention et le robinet d’eau froide ! ! ! Les garces n’ont pas arrêté de dérégler l’eau. Une little, ça va, deux après un garçon, c’est l’enfer !
A notre retour, les daddys et Nanou avaient trié les cartes « gages » et s’étaient mis d’accord sur les limites des jeux. Pour gagner du temps, nous avons fait les deux jeux en même temps. J’avoue sans aucun honte avoir apprécié d’assister à la fessée de Little Sam. Pas uniquement dans un esprit de vengeance, même si c’est elle qui avait essayé de m’émasculer quand j’étais attaché dans le lit, mais surtout parce qu’elle a un sublime petit popotin. Un cul comme ça, madame, cela mériterait d’être immortalisé puis exposé au Louvre !
Little Camille n’a pas eu de chance. Elle s’est retrouvée sur la même case que nanou. Hi hi hi. Deux minutes plus tard, elle sautillait sur les genoux de ma Maîtresse et tentait même de faire des ciseaux avec ses jambes comme à la gymnastique. Je me suis évidement proposé pour aller tenir les gambettes ce qui m’a valu un regard noir de ma nounou. Moi je ne cherchais pas à reluquer l’entrejambe agité, non, juste à aider pour que Nanou ne soit pas ennuyée.....
Même si je n’avais pas pris le risque de faire des commentaires sur les gages des littles ni leur fessées, lorsque j’ai tiré la carte gage sur le maquillage, elles se sont déchaînées sur mon visage. Une fois qu’elles eurent terminé leur tableau vivant, à côté de moi, Bozo le clown, faisait figure d’un visage pâle !
Mes petites fesses ont elle aussi pris cher, car Nanou me faisait tirer aussi dans les cartes « fessée ». Elle devait avoir la main qui la démangeait.
Nous avons fini les deux parties relativement tard, et tous les trois en couche avec quelques variables de l’une à l’autre. J’ai béni le ciel d’habiter là et de ne pas avoir à repartir avec ce qu’elles avaient entre les jambes. Leur daddy respectif trouvaient bien que leurs littles dévergondées vivent un peu elles aussi, les petits inconvénients d’un little boy soumis.
Bon, je dois avouer que cette soirée m’avait échauffé les sens et que nous nous sommes franchement bien amusé. Il n’y a pas que moi que cela avait excité, Nanou avait quelques envies sauf qu’avec ma cage de chasteté...... Une fois changé et douché, cela s’imposait après une telle soirée, elle m’a emmailloté comme un bébé avant que nous allions nous coucher.
Nanou me proposa, enfin, imposa plutôt, une tété particulière entre ses jambes. Son clitoris impatient se raidit rapidement sur mes lèvres, il était déjà bien gouteux comme une fraise des bois à mon arrivée dans les lieux. Elle fut rapide ce soir là, car un feu d’artifice retentissant ne tarda point à se faire entendre. Accompagné d’un resserrage puissant de l’étau de ses cuisses, un gerbe de cyprine fusa du sexe en mon palais gourmand.
Epuisée et repue, elle m’invita à prendre place à côté d’elle et à poser ma tête sur sa poitrine généreuse que je n’ai pas pu goûter ce soir là, ce qui est très bien, car mon petit robinet manifestait avec tracts et banderoles dans sa cage !
FIN
Cette histoire est fictive, toute ressemblance avec des personnes ayant existées ou existant ou --> pas encore nées serait qu’un pur hasard.
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